L’action humanitaire a beaucoup évolué depuis le siècle dernier ; un regard sur son histoire présente des changements d’orientation, de stratégies, des évolutions pour s’adapter aux exigences d’un monde en perpétuelle mutation et d’une société internationale frappée par la multiplication des crises et catastrophes naturelles dans tous les points de la planète. Dans cette logique d’amélioration qualitative, des réflexions sont menées au sein de la « galaxie humanitaire » pour apporter des réponses efficaces et durables aux besoins des populations affligées (1). Plusieurs thématiques sont de ce fait abordées, notamment celles de l’efficacité de ces réponses et leur caractère inclusif.
Ces thématiques mettent en avant la question de la participation des populations aux réponses humanitaires et interrogent la place qu’occupe une dynamique comme celle du Volontariat dans les activités humanitaires internationales. En tant que dynamique de mobilisation des capacités, le volontariat est-il suffisamment mis à contribution dans les réponses humanitaires ? N’est-il pas le chaînon manquant de la dynamique internationale de réponses humanitaires ?
Ces thématiques mettent en avant la question de la participation des populations aux réponses humanitaires et interrogent la place qu’occupe une dynamique comme celle du Volontariat dans les activités humanitaires internationales. En tant que dynamique de mobilisation des capacités, le volontariat est-il suffisamment mis à contribution dans les réponses humanitaires ? N’est-il pas le chaînon manquant de la dynamique internationale de réponses humanitaires ?
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